17 juin 2011

Soles Gratinées












Recette

Ingrédients :


-3 pommes de terre moyennes

-3 c.à.s de beurre

-500 g de filets de soles

-du sel et du poivre

-200 g de crème fraîche

-1 branche de romarin

-1 pincée de noix de muscade râpée



Préparation :



Laver et peler les pommes de terre puis les découper en rondelles . Les faire pocer 5 mn. dans de l'eau salée . Egouter et disposer en lit la motiié des pommes de terre dans un moule à gratin puis répartir quelques noisettes de beurre . Réserver l'autre moitié de pommes de terre .
Laver et égouter les filets de soles puis les disposer sur les pommes de terre . Saler et poivrer .

Disposer le reste des rondelles de pommes de terre sur les filets de soles et napper de crème fraîche .

Ajouter la branche de romarin , saupoudrer de noix de muscade râpée e cuire dans un four préchauffé à 200°G pendant 20 à 25 min .





3 juin 2011

Tajine Marocain

                                                                                       Ingrédients :

29 mai 2011

Bastila marocaine


Ingrédients pour la farce

1 poulet,
3 bols de persil haché,
1 kg 1/2 d'oignon râpé,
200 g de beurre,
1/2 cuillerée à café de cannelle,
1 cuillerée à café de poivre,
1/2 cuillerée à café de safran naturel, 8 oeufs durs, 
 300 g d'amandes mondées,   
frites et pilées,
                                                         1 verre de sucre, sel.

Pastila

1 kg de grandes feuilles à pastilla (on appel aussi feuille de brick), 150 g de beurre,
2 oeufs battus cannelle et sucre glace

20 mai 2011

Couscous aux sept légumes
















Ingredients :
  • 1 kg de couscous belboula d'orge
  • 700 g de collier d'agneau
  • 300 g d'oignons
  • 250 g de navets 250 g de courgettes
  • 200 g de fèves, 1 aubergine
  • 250 g de choux 250 g de carottes
  • 1 petit verre d'huile d'olive
  • 250 g de potiron
  • 1/2 cuillère de ras el hanout
  • 1 cuillère de curcuma
  • sel et poivre selon
  • 1 cuillère à soupe de beurre rance

19 mai 2011














Ingredients :
  • 250 g de riz long grains
  • 350 gr de crevette roses
  • 250 gr de moules déjà décortiquées
  • 1 petite boite de thon
  • 2 belles tomates
  • quelques branches de persil
  • 20 gr d'olive noir
  • 3 gousses d'ail
  • 2 cuillères à soupe de jus de citron
  • 4 cuillères à soupe d'huile d'olive
  • 1 cuillère à soupe de beurre
  • une cuillère à café de cumin
  • sel et poivre

Salade de riz et de poulet

 Ingredients :
  • 250g de riz long
  • 10 crevettes roses décortiquées
  • pamplemousse jaune,pamplemousse rose
  • 2 oranges
  • 1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique
  • 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol
  • 1 cuillère à café de miel d'accacia
  • sel, poivre



22 avril 2011

Choumicha- ka3k pour Aid

 
Ingrédients :

500 g de farine
150 ml lait
160 ml huile
150 g sucre
11 g levure chimique
Une pincée de sel
Une bonne cuillère à s d'anis en poudre
50 g de graines de sésame
 

Les épices, et les plats marocains


La cuisine traditionnelle marocaine est faite avec beaucoup de goût et amour. La doigté et la finesse d’une bonne cuisinière en fait, non seulement un tableau d’art, une mosaïque de couleurs et de produits, mais aussi et surtout, un plat délicieux et savoureux, dont l’odorat est attirant et donne envie d’y goûter.
Cette cuisine est relevée et synchronisée par l’utilisation des épices et condiments qui en constituent un instrument de sensualité. Le secret de la réussite de cet art gastronomique ancestral réside dans le dosage et d’un mélange savant de ces épices. Ce secret se transmet de mère en fille très jalousement, car chacune cherche à se distinguer de l’autre par la présentation d’un plat différents et délicieux. C’est d’ailleurs ce qui en fait une cuisine riche et variée de région en région.
Ces épices, secret de réussite de la gastronomie marocaine, font l’objet de plusieurs mélanges à différent degré de dosage, selon l’utilisation à laquelle on les destine, et selon la finesse de celui ou de celle qui a à les travailler.
Ras el Hanout, ce mélange d’une sélection d’épices est le principal exemple de la synchronisation d’épices et de condiments dont est riche le savoir culinaire marocain. Ce mélange plein de mystère, cette composition aux senteurs aromatiques, chaudes et sensuelles et aux saveurs subtiles avec une note légèrement sucrée, est le fruit du génie de la femme cuisinière marocaine, de l’épicier traditionnel, qui a su faire un dosage cohérent. Ces mélanges fantastiques d’épices sont issus du savoir faire et de l’esprit innovateur des femmes cuisinières et surtout celles qui faisaient la cuisine raffinée dans les palais des royaux chez les grandes familles. Ces dernières avaient le souci de vouloir offrir à leurs invités des préparations recherchées. D’ailleurs ce qui faisait la distinction entre les cuisines et les cuisinières, c’était justement cet esprit d’innovation, de doigté, de sensibilité aux bonnes choses.
Ce suprême mélange d’épices que l’on nomme RAS EL HANOUT, est le résultat de cette innovation de ce génie de la femme marocaine cuisinière, qui a bien voulu, avec l’aide de son épicier, réaliser ce mystérieux délice, synchroniseur des plats hautement cuisinés. N’ayant pas d’origine très certaine, Ras El Hanout est composé par un choix d’épices sélectionnés par l’épicier « Attar », qui prépare selon la commande sa recette et en fait généralement la mouture devant ses clients. Ce mélangé est, en principe composé d’une vingtaine d’épices, mais il en contenir plus, selon l’utilisation et le goût des consommateurs.
Il est à noter, que d’après les connaisseurs, certains épices sont indispensables, à savoir le gingembre, le macis, le Cubèbe, le cardamome, la muscade, le poivre et le cumin. A ces épices suprêmes, on peut aussi ajouter les boutons de roses séchés, plusieurs variétés de poivres, du clou de girofle. Le mélange peut varier selon les régions et selon les traditions culinaires ; mais son origine est le fruit d’une haute civilisation culinaire et d’une culture ancestrale. Il s’est développé dans les grande agglomérations où l’art et le savoir s’est bien développé, tel que le tapis, l’artisanat, comme à Fès, Marrakech, Méknés, Tétouan……..
Voici, ci-après quelques épices qui composent le Ras el Hanout :
De Cardamome ( qaaqalla), Macis ( Bsibissa), Cubébe ( Kebbaba), Fruits de frêne( Isan attayr), Poivre de la Jamaïque, graine d’une Zingibéracée, Curcuma ( Kherquoum ), poivre blanc, gingembre, Safran pur, poivre long, noix de muscade, Bouton de rose, graine de cantharide( doubaba hindia), Anis ou graines de fenouil, mastic ( maska houra), graine de sésame, graine de coriandre, galanga ( Khoudanja), Maniguette ( gouza sahraouia), canelle ( qarfa), cypéracée ( tara soudania), clou de girofle, lavande ( khzama), Nigelle ( habba saouda), gingembre blanc ( skinjbir),poivre des moines ( Kherouia),…(1) Les doses de ces épices sont définies par l’épicier spécialiste, en fonction des besoins et de l’utilisation. L’on constate l’existence de nombreuses recettes de Ras El Hanout

L’art culinaire marocain : une culture et une histoire riches et diversifiées

 

 
Les observateurs avertis qui ont sillonnés les régions marocaines et qui ont eu l’occasion, à travers les différentes rencontres, de déguster la cuisine de ces régions, ont certainement pu découvrir un art culinaire certain et très ancien. Ces modes de préparation et de présentations des aliments, selon les circonstances, remontent à une histoire lointaine, vieille de plus de 2000 ans.
Ces mets, à la fois copieux et délicieux, révèlent le plaisir du palais et réconforte les hôtes qui y trouvent une grande diversité artistique, gustative et nutritive. La cuisine marocaine du terroir est surtout cérémoniale, car l’on peut distinguer des préparations qui sont servies à des moments et dans circonstances bien précises, notamment : - le menu de fêtes, – le menu du Ftour du ramadan, - le menu de mariage, de fiançailles, de baptême, - menu de réception officielle…etc., et menus de saison et occasions diverses. Cette cuisine manque de trace écrite de son histoire, malgré qu’elle soit ancienne.
L’art culinaire marocain a été enrichi par les influences de plusieurs civilisations des pays voisins et de ceux qui l’ont colonisé à travers les époques anciennes. Cependant nous pouvons citer comme influence, celle des phéniciens, des carthaginois, des romains, des arabes, des espagnoles, des andalous, des turcs, des portugais, des français et des anglais. Ce qui a pu l’enrichir et la diversifier cette et en faire une vraie mosaïque et un vrai tableau d’art. Mais les trois grandes influences qu’a connues la cuisine marocaine restent en fait l’influence arabe, turque et andalouse. Arabe en ce qui concerne les M’qalla, M’hammar et M’Aammar, pour ce qui est de l’influence turque elle est constatée au niveau des Méchouis et enfin andalouse pour ce qui est M’jammar et pour tout le reste.
Cette cuisine est affinée par l’emploi d’épices et d’aromates naturelles recherchées. Elle est également mise en valeur par la sélection des produits, par la bonne présentation et par un service spectaculaire et bien ordonné et agréable. C’est dire aussi que c’est une cuisine festive et apéritive.
La table marocaine est, différemment des cuisines : française, chinoises, turques, espagnoles….réduite aux plus simples règles, manières et habitudes, dont l’art et pratiques de conception varient d’une région à une autre, d’une ville à autre et parfois de famille en famille, ce qui en fait une vraie mosaïque artistique. Ces différentes préparations réunies, constituent un tableau exceptionnel de plats différents.
Toutefois, il est constaté l’existence de certains points communs à toutes les régions : c’est le service du thé à la menthe, considéré comme boisson d’accueil et de bienvenue, comme boisson apéritive ou digestive ou d’accompagnement. Cette boisson chaude est servie également pendant le 2ème Ftour, entre 9 h et 10 h, avec le Batbout : petit pain rond légèrement levé, le M’semen : galette de farine de blé cuite sur plat en terre, les R’ghaif : feuilletés simples ou fourrés, les Baghrir : crêpes épaisses ou fines, grandes ou petites arrosées de beurre fondu et de miel ; Amlou : pâte d’amandes entières grillées, moulues avec l’huile d’argan et mélangé au miel, il accompagne aussi toutes sortes de biscuits de gâteaux, ou simplement du bon pain d’orge, de maïs ou de blé.
La cuisine marocaine est remarquablement distinguée des autres cuisines du monde par ses plats spécifiques, cérémonieux, tels que les coucous, le Méchouii, la Bastella. Ces plats présentent également des différences dans le mode de préparation, de région en région et de ville en ville, selon que la famille est citadine, rurale, aisée ou moyenne et aussi selon la richesse et la disponibilité des produits agricoles.
Pour le couscous l’on observe la différence dans la semoule utilisée, laquelle peut être de blé, d’orge ( Balboula), ou de maïs ( Baddaz), et aussi dans la viande utilisée qui peut être soit du poulet, soit du mouton, du bœuf ou même le poissons dans la région de Safi et de Casablanca. Les légumes sont choisis selon la saison, la région et qui peuvent aussi être composés d’oignons, de raisins secs et de pois chiches (Tfaiya).
Le Méchoui fait apparaître la différence dans les viandes utilisées, le mouton, le chèvre, le bœuf, le poulet et parfois dans le sud la viande du dromadaire.
La Bastella , qui d’après certains puise son origine de la Mésopotamie, n’échappe non plus à la règle de diversité des produits employés dans sa confection. Cette différence est remarquée au niveau des viandes et des produits qui composent la farce. On utilise du poulet, du pigeon, poissons et/ou les fruits de mer. La farce est généralement composée d’amandes ou de cacahuètes ou d’un mélange des deux, associé à l’oignon, au persil et l’œuf comme base d’une farce qui sera enrichie de viande, de poulet, de pigeons, de poissons ou de fruits de mer.
                                                                                                               

Poissons : Gratin de Sardines


Gratin de Sardines 
Ingrédients :
  • 1 kg de sardines
  • 1 kg de pommes de terre
  • 1 oignon découpé en rondelles
  • 2 cas. de coriandre hachée
  • 2 cas. de persil haché
  • du sel
  • 1 c.à c de piment doux - de cumin
  • 6 gousses d’ail écrasées
  • ½ verre à thé d’huile d’olive
  • le jus d’un demi-citron
Préparation :
Laver les sardines et les écailler. Enlever les arêtes, la tête et les vider, égoutter et laisser au frais.
Pour préparer la charmoula, mélanger dans un petit bol la coriandre, le persil, le sel, du piment doux, le cumin, l’ail, l’huile d’olive.
Étaler un peu du mélange sur une sardine puis ouvrir d’une seconde. Faire de même avec le reste du poisson.
Disposer les rondelles d’oignon dans un moule à gratin. Laver les pommes de terre, les éplucher, les découper en rondelles et disposer la moitié sur l’oignon en deuxième couche.
Mélanger l’eau au reste de la charmoula et arroser les rondelles de pommes de terre avec deux cuillères à soupe de charmoula. Disposer les sardines farcies sur les pommes de terre.
Couvrir les sardines avec l’autre moitié de pommes de terre, arroser de reste de charmoula puis les faire cuire au four préchauffé à 180°C environ 30 mn. jusqu’à cuisson des pommes de terre.

21 avril 2011

Aïd Al-Adha : EPAULE D'AGNEAU ROTI

:: Ingrédients
2 kg d'épaule d'agneau
220 g de beurre mou
2 gousses d'ail
1 cuillère à soupe de cumin
1 cuillère à soupe de paprika
1 cuillère à café de safran
huile, sel, poivre




Travailler en pommade 180 g de beurre avec le safran, le cumin, le paprika et l'ail pressé. Enduire l'épaule d'agneau de ce mélange. Placer la viande dans une cocotte, en versant de l'eau jusqu'à mi-hauteur. Saler, poivrer. Faire cuire à couvert pendant 2 heures et demi environ, en arrosant de jus de temps en temps. Vérifier la cuisson: la viande doit se détacher facilement de l'os. Un quart d'heure avant de servir, faire dorer la viande dans une grande poêle, avec l'huile et le beurre restant. Faire réduire la sauce, en la liant avec un peu de farine ou de maïzena pour qu'elle acquière l'onctuosité voulue. Servir l'épaule d'agneau nappée de sauce.

Harira marocaine : bouillon et tedouira

La Harira Marocaine se prépare en deux temps :

En premier : Le bouillon (tka-tâa). Il faut compter une heure et 1/2 environ de cuisson.
250 g de viande de veau ou de mouton coupée en dés
4 ou 5 petits os légèrement charnus
500 g d'oignons assez petits, entiers
1/2 cuillerée à café de safran (moitié naturel, moitié artificiel)
1 cuillerée à café de poivre
1 noix de beurre
250 g de lentilles
sel
1 litre et 1/2 d'eau pour le bouillon

En deuxième : Tédouira : Une heure de cuisson environ

1 bouquet de coriandre
1 bouquet de persil
1 kg 1/2 de tomates moulues ou 1 boîte de tomate concentrée délayée dans 1 litre d'eau
2 litre et 1/2 d'eau
1 verre à thé aux 3/4 plein de jus de citron
1 noix de beurre
200 g de farine
Et du sel



Préparation du bouillon :

Cuire les lentilles dans de l'eau salée, égoutter et exprimer le jus d'1 citron. Réserver. Mettre les autres ingrédients à cuire à couvert dans une casserole, laisser mijoter à petit feu, après ébullition, retirer les oignons dès qu'ils sont cuits afin qu'ils restent entiers. Après 1 heure environ, vérifier si la viande est cuite et retirer du feu. Verser alors les lentilles et les oignons dans cet appareil.

Préparation tedouira:

Mettre l'eau à bouillir avec les tomates moulues ou le concentré de tomates, ajouter une noix de beurre. Laisser bouillir pendant 1/4 d'heure et ajouter le jus du bouillon en laissant au fond de la casserole viande, lentilles, oignons etc... Hors du feu, verser petit à petit dans ce mélange la farine délayée dans 1 litre d'eau, en remuant rapidement pour ne pas former de grumeaux. Remettre alors sur le feu et continuer à remuer doucement jusqu'à ébullition. Ajouter le persil et la coriandre hachés très fin ou pilés au mortier avec la quantité de sel nécessaire à l'assaisonnement. Diluer avec un litre d'eau et verser dans la marmite tout en remuant (on peut tout aussi bien les passer au mixeur additionné d'eau). Vérifier l'assaisonnement et retirer du feu quand la soupe est bien chaude. La harira doit être veloutée et non épaisse.

Chafaï Choumicha

Véritable star au Maroc[, Choumicha est aujourd'hui l'un des visages de la télévision les plus connus au Maroc. Pourtant rien ne lui prédisait un tel essor à ses débuts dans le paysage audiovisuel marocain. C'est sa rencontre avec Hamid Zerouali, réalisateur à 2M qui a tout bousculé. Celui-ci lui a alors proposé, avec Rajae Hassani, productrice, de présenter une émission gastronomique. Cette émission, qu'elle débute en 2000, lui vaudra un énorme succès dans les cuisines et les foyers maghrebins et marocains en particulier.
Choumicha anime aujourd'hui deux émissions culinaires sur la chaine TV marocaine 2M. La première s'intitulant Ch'hiwate Choumicha est une quotidienne diffusée du lundi à vendredi à 12 h 25 (heure marocaine) dans laquelle Choumicha présente des recettes diverses et variés à ses téléspectateurs. La seconde, Ch'hiwate Bladi, diffusée tous les samedis à 13 h 45 vous invite à un voyage gastronomique à travers les régions marocaines. Dans cette émission, a l'aide d'un habitant de la région visité, elle fait découvrir les mets et spécialités de la région.
A côté de ses activités télévisuelles, Choumicha publie plusieurs livres de cuisine, en arabe et en français qui remportent eux aussi énormément de succès.
Elle a également lancé un magazine bimestriel intitulé Saveurs et cuisine du Maroc entièrement dédié à la cuisine marocaine.
Depuis peu elle anime un magazine sur la chaine française Cuisine.tv intitulé La Cuisine de Choumicha en langues française et arabe.